Au mois d'avril, le magazine Xylon a donné la parole à l'atelier de menuiserie Papa, une micro-réalité surprenante qui fait de la pensée créative son trait distinctif et gagnant depuis trois générations. Ils ont raconté comment, en présentant notre centre de travail CNC Point K2 Top de la société, était une véritable révolution copernicienne pour leur réalité.
Ci-dessous, un extrait de l'article paru dans le numéro de mai-juin du magazine.
Vous allez découvrir:
Alberto Papa et son père Enrico sont les propriétaires de PapaArreda, une entreprise familiale fabricant des meubles de haute qualité, à Mergozzo, dans le Province du Verbano-Cusio-Ossola Italie. PapaArreda constitue l'ADN de l’artisanat et se caractérise par ce que l'on pourrait appeler le « trait somatique » de l'ingéniosité italienne. Avec ses soixante ans d’histoire, elle se réaffirme aujourd’hui comme l’expression de la menuiserie d’excellence, à travers une réinterprétation du travail qui a choisi et intégré de manière positive la technologie de pointe avec la machine de traitement de panneaux « Point K2 TOP » de Vitap.
L’entreprise exerce ses activités en Lombardie, dans le Piémont et en Suisse. Ses « outils marketing » privilégiés sont le bouche à oreille - cela en dit long sur la grande qualité du produit et du service - et son site internet, qui décrit efficacement la société en tirant parti de sa capacité à « personnaliser ».
Alberto Papa nous raconte l’histoire fascinante de sa famille, à commencer par son grand-père sculpteur, un métier d’artiste profondément ancré dans la réalité territoriale : les carrières de Candoglia, située dans la ville de Mergozzo ont « fourni » le marbre pour construire la cathédrale de Milan.
« Mon grand-père, Romeo Papa, commença sa carrière comme sculpteur. Dans les années cinquante, il fréquenta l’école de sculpture puis « apprit le métier », comme on disait jadis, dans l’atelier d’un sculpteur bien établi de la région, Germano Tedesco. Une fois sa formation terminée, grand-père Romeo choisit de se séparer du maître en créant sa propre entreprise dont l’activité consistait en la création de cadres pour miroirs de style baroque. Il vend principalement àTurin où il est plutôt connu pour son activité de sous-traitant d'éléments en marbre pour les concepteurs d'intérieur et les fabricants de meubles. »
« Mon grand-père, à l’époque, enseignait également dans l'ancienne école Bellini, à Mergozzo, qui formait les mécaniciens et les tailleurs de pierre. Mon père partagea initialement le choix de mon grand-père, préférant toutefois se concentrer sur le travail du bois, une activité qui appartient à la tradition territoriale, même si, de nos jours, les entreprises locales se concentrent davantage sur les encadrements de fenêtres. La spécialisation en ameublement a diminué mais nous restons tout de même attachés au mobilier par passion. »
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« De nombreux menuisiers nous ont demandé des frises et des travaux en marbre à insérer dans leurs meubles, buffets et miroirs. La contamination de compétences et de « savoir-faire » a été spontanée. Avec mon entrée dans l'entreprise, l'orientation vers les travaux de menuiserie est devenue claire, jusqu’à devenir l'activité dominante. Lorsque le « maître d'art » de mon père ferma l’atelier, mon père reprit les machines de menuiserie, la classique machine combinée et quelques autres éléments, pour s’installer à son compte : la voie est tracée ».
« Mon père travaillait avec un maillet et une gouge », poursuit Alberto Papa. « Il retirait le panneau pantographié, dégrossi et le terminait. Il utilisait principalement du bois de tilleul en raison de sa versatilité et de sa douceur, mais également de son grain compact qui ne se déchire pas et peut être travaillé avec une grande facilité avec d'excellents résultats. Lorsque j'ai commencé à travailler, à l'âge de 17 ans, j'avais, en plus d'une formation technique, une expérience professionnelle acquise dans un cabinet d'architecture en tant que dessinateur et un peu de pratique obtenue en atelier dans les locaux des entreprises de Brianza, où j'avais suivi une formation pour apprendre à fabriquer des meubles. Dans les années quatre-vingt, la demande de meubles en menuiserie et sculpture en pierre avait déjà fortement diminué. Les meubles en bois semblaient avoir des perspectives de vente nettement plus attrayantes. C'était le début de l'art pauvre et du ferme établissement du panneau contreplaqué au bois massif.
En partant de la vielle machine combinée de mon père et en ajoutant un peu de conceptualisation issue du mélange de formations acquises dans les industries de Brianza et dans les cabinets professionnels, nous avons délimité le nouveau caractère d’une entreprise hautement respectueuse de la tradition, dotée d’un grand savoir-faire dans le domaine de la menuiserie, mais prête à accueillir et à intégrer la technologie de l'industrie des machines. Nous avons participé à un appel d'offres dans la région du Piémont et obtenu, à titre d « excellence artisanale », une contribution (quarante pour cent sans nécessité de remboursement pour l'achat de machines) qui nous a permis de remplacer l'ancienne machine combinée par des machines plus « adaptées » à notre époque... ».
« De nombreux menuisiers nous ont demandé des frises et des travaux en marbre à insérer dans leurs meubles, buffets et miroirs. La contamination de compétences et de « savoir-faire » a été spontanée. Avec mon entrée dans l'entreprise, l'orientation vers les travaux de menuiserie est devenue claire, jusqu’à devenir l'activité dominante. Lorsque le « maître d'art » de mon père ferma l’atelier, mon père reprit les machines de menuiserie, la classique machine combinée et quelques autres éléments, pour s’installer à son compte : la voie est tracée ».
« Mon père travaillait avec un maillet et une gouge », poursuit Alberto Papa. « Il retirait le panneau pantographié, dégrossi et le terminait. Il utilisait principalement du bois de tilleul en raison de sa versatilité et de sa douceur, mais également de son grain compact qui ne se déchire pas et peut être travaillé avec une grande facilité avec d'excellents résultats. Lorsque j'ai commencé à travailler, à l'âge de 17 ans, j'avais, en plus d'une formation technique, une expérience professionnelle acquise dans un cabinet d'architecture en tant que dessinateur et un peu de pratique obtenue en atelier dans les locaux des entreprises de Brianza, où j'avais suivi une formation pour apprendre à fabriquer des meubles. Dans les années quatre-vingt, la demande de meubles en menuiserie et sculpture en pierre avait déjà fortement diminué. Les meubles en bois semblaient avoir des perspectives de vente nettement plus attrayantes. C'était le début de l'art pauvre et du ferme établissement du panneau contreplaqué au bois massif.
En partant de la vielle machine combinée de mon père et en ajoutant un peu de conceptualisation issue du mélange de formations acquises dans les industries de Brianza et dans les cabinets professionnels, nous avons délimité le nouveau caractère d’une entreprise hautement respectueuse de la tradition, dotée d’un grand savoir-faire dans le domaine de la menuiserie, mais prête à accueillir et à intégrer la technologie de l'industrie des machines. Nous avons participé à un appel d'offres dans la région du Piémont et obtenu, à titre d « excellence artisanale », une contribution (quarante pour cent sans nécessité de remboursement pour l'achat de machines) qui nous a permis de remplacer l'ancienne machine combinée par des machines plus « adaptées » à notre époque... ».
« Nous avions besoin de machines différentes et séparées qui auraient permis à mon père et à moi de travailler ensemble et en même temps. Mais nous devions également repenser notre laboratoire et rationaliser les travaux. Si, au fil du temps, la relation avec la machine a profondément changé et que, parfois, c'est la technologie même de la machine qui oriente les activités de l'atelier, cela ne signifie nullement renoncer à l’unique valeur du savoir-faire. Être artisan est une attitude liée à la créativité et au professionnalisme, non aux outils. Après une étude approfondie des machines de différents fabricants, nous avons choisi la « Point K2 TOP » de chez Vitap. Pour nous, ce fut une sorte de révolution copernicienne de l’atelier, une machine intelligente, polyvalente et efficace, idéale pour traiter un produit artisanal avec une rigueur industrielle ».
« Nous devions nous mettre à la page comme nous l’avions promis à nos clients, ce qui n’est certes pas facile pour une entreprise de deux personnes. Nous devions également fournir une qualité différente : couper le panneau avec l’ancienne scie circulaire n’assurait certainement pas la même précision qu’avec la nouvelle machine de chez Vitap. Et nous avons également dû gérer l’espace : notre laboratoire n’est pas exactement gigantesque, ainsi la machine que nous aurions achetée ne devait ne nécessiter que peu d’espace. Au début, je pensais à une station d’usinage usagée, mais les dimensions, particulièrement en hauteur, nous ont dissuadés. Nous aurions dû recourir à un compromis, une station d’usinage qui n'aurait pas pu être absolument polyvalente, sans tenir compte du fait que la plupart d’entre elles ne sont certainement pas la solution la plus rapide pour travailler sur les armoires et les perforations. En parlant d’usagé, la question du logiciel s’est inévitablement posée. Il s’agit en effet d’une « partie » de la machine qui vieillit très vite et qui, en quelques années, devient obsolète, dans un contexte de besoins productifs en constante évolution. Dans la mesure où il s’agissait d’un investissement très important pour nous, il était essentiel de bien choisir. Nous avons examiné de nombreuses solutions, comme je l’ai déjà dit, puis nous avons vu la « Point K2 TOP » de chez Vitap à l’action : une véritable révolution. Nous avons pénétré dans un territoire totalement inexploré mais nous avons tout de suite été enthousiastes. Ainsi, seulement deux ans plus tard, nous avons décidé de faire un autre pas en avant en le remplaçant par la « Point K2 TOP » une machine aux performances encore meilleures.
En bref, nous étions véritablement satisfaits de poursuivre notre collaboration avec Vitap en introduisant dans notre laboratoire une machine possédant jusqu’à 1 250 millimètres de largeur utile, un pantographe plus puissant et un système de serrage de pièces encore plus efficace grâce à excellent quadrillage ».
« Avant, nous faisions beaucoup plus d'effort. Aujourd’hui, nous pouvons réaliser les gabarits de forage les plus complexes ainsi que tous les processus dont nous avons besoin et même ajouter des frises en un seul passage ! Nous pouvons donner à nos meubles un caractère encore plus personnel et notre « âme d’artisan » ne subit aucunement le fait d'utiliser une machine de haute technologie. En effet, nous avons retrouvé la créativité que nous avons dû sacrifier avec des machines plus rigides et moins polyvalentes. La « Point K2 TOP » convient parfaitement à notre entreprise et nous permet de réaliser un travail identique à celui que nous aurions effectué sur une station d’usinage avec une majeure rapidité, notamment en ce qui concerne les temps d’usinage et de perçage. De plus, il ne faut surtout pas oublier que l'investissement a été adapté à notre capacité commerciale, et que la possibilité, pour nous, de construire un meuble en moins de temps, nous permet d'être plus compétitifs avec une qualité supérieure. Que pouvons-nous vouloir de plus ? Nous sommes très satisfaits, également en termes de service après-vente, ainsi que de formation que les techniciens de Vitap nous ont garantie pour pouvoir utiliser notre nouvelle machine au maximum de ses capacités, nous aidant ainsi à compenser les lacunes dues à notre inexpérience. Et si, par hasard, nous devions rencontrer un problème, le service d’assistance à distance nous permet de nous remettre très vite au travail ! ».
Voulez-vous en savoir plus?
Télécharger la brochure«Nous pensons que cette machine est une solution très intéressante pour les petites entreprises et les artisans », ajoute Dott. Fabrizio Montanelli, responsable Commercial de Vitap «Nous avons apporté de nombreuses améliorations aux modèles précédents et nous sommes maintenant confrontés à une machine « mature », avec une dynamique des différentes phases de traitement brevetées, parfaite pour une machine compacte et capable d’unir les différentes opérations.
À partir de l'équerrage de la barre ou de la porte qui est chargée, parfaitement sur mesure, perforée conformément au gabarit requis.
La pièce à usiner se déplace sur des rouleaux en caoutchouc, sans aucun risque de dommages également sur les finitions les plus délicates. Ajoutons à cela que le plan de la machine correspond à la « hauteur zéro », ce qui permet le maintien d’une précision de perçage maximum, sachant que toute déformation du panneau, lequel est travaillé par dessous, devient sans importance, et que les pièces sont parfaitement « finies », prêtes à être bordées et assemblées »
Peu de temps avant Noël 2021, Papa Arreda nous a envoyé ce beau témoignage. Les artisans de l'entreprise ont créé une crèche de Noël avec notre Top Point K2.
Ces types de créations sont un parfait exemple de la polyvalence et des possibilités infinies d'utilisation garanties par notre CNC. À Papa Arreda, ils ont très bien compris comment en tirer le meilleur parti et nous ont fait de très belles et surprenantes salutations de Noël.
Découvrez toutes les fonctionnalités de notre K2 en le regardant directement en action grâce à nos vidéos
Système breveté Nesting Bar Nesting
Changeur d'outil à 4 positions
D-D-T (Double transport dynamique)
Dispositif d'équerrage sur 4 côtés 0-3 mm
Construction d'un transat en bois pour l'été
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